les classes de neige à Wengen

Travail pour Pascale (Florian D)

Le dimanche des classes de neige était un jour un petit peu spécial car nous avons pris un moment pour réaliser le travail que Pascale nous avait donné. Pour les premières secondaires, il leur fallait écrire une phrase en néerlandais et pour les deuxièmes secondaires, c’était la même consigne mais il fallait en plus transformer cette phrase à l’imparfait, au futur simple et pour finir, au passé composé.

Tout le monde était exténué d’avoir fait ce travail (un peu embêtant), surtout les deuxièmes secondaires ! Que voulez-vous…? Il faut bien travailler pour réussir !

La messe (Florian D)

Le dimanche, Danny-Pierre a évidemment  voulu faire la messe. Nous sommes arrivés à la chapelle qui était plus petite que ce qu’on pensait. Pendant que Danny-Pierre se préparait, nous avons observé les vitraux que nous trouvions magnifiques.

Quand la messe a commencé, nous étions tous dans la joie. J’attendais avec impatience le moment de la communion pour recevoir le corps du Christ. C’était très plaisant !

Le ski (Youri)

Personnellement, j’ai adoré le ski grâce à Robbe, notre moniteur. Il parlait très bien français et avait l’esprit d’équipe. C’était génial !

Le ski (Elie)

Le premier jour de ski, nous attendions tous avec impatience l’arrivée de notre moniteur. Nous en avons aperçu plusieurs au loin. L’un d’entre-eux nommé Robbe se dirigea vers nous (son prénom était noté sur son manteau). Très vite, nous l’avons tous trouvé très sympa ! Nous devions porter nos skis, ce qui n’était pas très évident étant donné que nous avions déjà chaussé nos chaussures de ski et marcher avec faisait un effet bizarre.

Arrivés sur notre première piste, le moniteur ne nous fit mettre qu’un seul ski puis il nous fit marcher d’un pied et glisser de l’autre en formant un grand cercle. Puis il nous fit faire le même exercice mais en échangeant les rôles des deux pieds.

Ensuite, nous avons pu mettre nos deux skis. Robbe, le moniteur, nous fit descendre une petite pente. C’est sur cette pente que nous avons appris à avoir un bon équilibre, à freiner, à tourner, bref toutes les bases du ski.

Enfin, nous avons été sur une piste  plus grande et plus raide. De plus, un tapis roulant nous permettait de remonter la pente sans se fatiguer. Je me suis très bien amusé sur cette pente.

Au bout de quelques jours, nous avons été sur une piste très raide. Je m’y suis encore plus éclaté même je m’y suis fait un gros bleu en tombant.

Les derniers jours, nous avons pris un train à crémaillère et nous sommes redescendus en skis. C’était formidable !

Finalement, Robbe nous a remis nos brevets de ski et nous lui avons dit au revoir. Depuis je rêve de refaire du ski toutes les nuits !!!!

Le lunch (Jean-Paul)

Une heure avant d’aller dans le car, nous avons été souper. Puis, nous avons préparé notre pique-nique pour notre voyage. Au menu, il y avait du jambon, du salami, du fromage et du pain. Moi, j’ai préparé 6 sandwichs avec du jambon, du salami et de la mayonnaise. Ce mélange était délicieux ! Nous avons aussi reçu une bouteille d’eau et une plaquette de chocolat. Quel régal !

La luge (Jean-Paul)

Après le dîner, nous avons été faire de la luge. Pour cela, nous avons été dans un train à crémaillère. Quand nous sommes arrivés, Danny-Pierre nous a donné les consignes. Au début, nous avons fait de grandes et longues descentes. Après le pont, j’ai bousculé Florian qui est tombé sur un skieur de l’armée. Ce dernier a rigolé. Florian s’est excusé et il est reparti. A la fin, nous avons plutôt tiré la luge à la place de glisser dessus. Nous avons été très contents de cette balade même si certains ont eu un peu froid.

Les télécabines (Florian V)

Est-ce que vous connaissez les télésièges, les télécabines ? Non ? Ce sont des machines suspendues sur des câbles dans les airs. Cela sert à arriver plus vite au sommet des pistes. Moi, je suis monté une seule fois en télécabine. Ce sont des machines formidables !

Le spectacle (Florian V)

Une scène remplie de balles, de massues et de diabolos… Mais qu’est-ce que c’est ? Vous devinez sans doute… C’est une école qui fait un spectacle et cette école n’est pas une école de cirque ! C’est la nôtre ! C’est notre petite école belge. Toutes les personnes qui ont vu notre spectacle ont dit qu’il était super chouette. Moi, je jonglais avec 3 massues, 3 balles et même 4 balles ! C’était très cool de jongler devant tout le monde.

Départ et arrivée (Elie)

Le lundi 7 janvier, jour du départ (au soir seulement!), l’attente fut longue. J’étais très excité et j’ai dû me concentrer énormément pour ne pas penser aux classes de neige mais plutôt à mes exercices de géométrie de Sophie et au cours de sciences de Marie-Do.

Enfin, la cloche a sonné, ce qui, je l’ai cru un moment, n’arriverait jamais.

A 18h, nous étions sur le parking du Carrefour de Mouscron. A 18h10, le car n’était toujours pas là. En réalité, il était 100 mètres plus loin et nous ne le voyions pas ! C’est finalement Laurence qui a été voir et qui nous a prévenu. Nous sommes tous montés et nous nous sommes installés confortablement. Nous sommes passés par Mignault et par Bruxelles pour prendre d’autres écoles.

Peu de personnes ont réussi à dormir longtemps dans le car. Nous sommes donc arrivés fatigués à la gare pour train à crémaillère. Nous avons récupéré nos valises qui étaient dans la soute à bagages et nous sommes entrés dans le train à crémaillère. C’était drôle car ça vibrait. Arrivés à Wengen, nous sommes descendus du train et avons mis nos bagages dans une remorque tirée par une voiture électrique. Nous avons marché jusqu’à l’hôtel et le trajet prit fin tout comme mon texte.

Le bonhomme de neige (la classe)

Arrivés à Wengen, nous n’avions qu’une envie : jouer dans la neige ! L’après-midi, l’occasion nous en a enfin été donné ! Nous sommes sortis pour visiter le village. Emmanuel a lancé une boule de neige sur Youri. Bien sûr Youri s’est vengé.

Rapidement, les boules volèrent dans tous les sens ! Elie, lui, s’est mis à faire une énorme boule de neige. OH! La belle idée! Très vite, Tom, Florian D et Emmanuel se joignirent à lui et la boule devint tellement grande qu’on ne savait plus la pousser. Alors, presque tout le monde s’y est mis, même Laurence!

C’est ainsi qu’est né notre magnifique bonhomme de neige ! Nous l’avons appelé Jean-Mouloud, le kéké des plages. Jean-Mouloud s’est penché de plus en plus lors de notre séjour pour nous saluer. Malheureusement, le jour du départ il ne restait plus que la grosse boule!

La Couronne (Julianne)

Mardi matin (dernier jour avant le départ), nous sommes allés sur un sommet : la Couronne (on appelle ce sommet « la Couronne » car il y a une chaine de montagnes qui entoure ce sommet et ça ressemble à une couronne ). Nous avons commencé l’ascension en télécabine et nous avons terminé à pied. C’était du sport! Et pourtant, certains sont montés en courant!! Quelle splendeur : nous pouvions admiré un lac, des montagnes, la merveilleuse nature…

Bataille de boules de neige (Julianne)

Mardi après-midi (premier jour), nous avons fait une bataille de boules de neige à côté de l’hôtel. C’était très amusant! Laurence prenait des photos. A la fin , Tom avait une boule de neige dans le pantalon, Youri et Emmanuel en avaient plein le visage et moi, je ne voyais plus rien car j’en avais plein sur mes lunettes.

Visite de la ferme (Martin)

Lundi 14 janvier, nous sommes allés dans une ferme. Nous avons vu 3 chiens, des chèvres avec leur chevreaux, des poules et des vaches dont une qui allait accoucher. Nous avons appris que la gestation d’une vache durait 9 mois et celle d’un cheval, 11mois.Nous avons trouvé que cela était très intéressant!

La soirée Casino de Wengen (Martin)

Samedi soir, nous avons fait une soirée casino pour rentrer au Golden Globe de Wengen. Il y avait 3 équipes pour Mouscron : l’équipe des Invincibles 1 (Jean-Paul, Nicolas, Elie et Joseph), celle des Invincibles 2 (Tom, Youri, Emmanuel et moi) et les copains de la fortune (Tamara, Julianne, Flo D, Flo V et Chris).

Au début du jeu, toutes les équipes avaient 10 billets. Le but était de faire des jeux très amusants pour en gagner davantage. Hélas, si on perdait, nous devions donner un billet aux responsables.

Notre équipe a récolté 15 billets ! Comme on en avait assez, nous avons pu rentrer au Golden Globe. Tout le monde a enfin pu y entrer.

La soirée s’est terminée par une présentation des moniteurs ainsi que des chansons. Nous avons tous passé une bonne soirée !

Nos évaluations (Chris)

Chaque soir,nous faisions l’évaluation de la journée. Je vais vous expliquer comment ça se passait :

Nous nous réunissions dans la chambre de Tom, Youri et Emmanuel car c’était la chambre la plus spacieuse. Par ces évaluations, nous apprenions des choses sur les autres et sur ce qui se déroulait durant la journée.

Tout d’abord, Laurence nous demandait ce qu’on avait bien aimé et ce qu’on en pensait. Après, nous lisions les commentaires du blog des classes de neige : nous rigolions bien! Enfin, nous allions tous dormir dans nos chambres. Les institutrices nous souhaitaient bonne nuit.

Le restaurant (Youri)

Nous étions dans un restaurant 5 étoiles dans lequel il y avait toutes sortes de nourriture. Au déjeuner, il y avait du pain blanc ou gris accompagné de petits pots de chocolat ou de confiture. Il y avait aussi des tranches de fromage et de jambon. Comme boisson, nous avions du cacao, du jus d’orange et du lait. Au dîner, il y avait des hots dogs, des pâtes à la sauce tomate, des tapas et des hamburgers avec des frites. Et à la fin, nous avions un dessert. Bref, nous avons été bien nourris.

Une veillée théâtre (Tom)

Un soir, Elise nous a proposé une activité de théâtre avec toutes sortes de mini-jeux.

Je vais vous présenter un mini-jeu…

Deux personnes étaient assises sur des chaises. L’une devait parler une langue inventée que bien sûr personne ne pouvait comprendre et l’autre devait essayer de la traduire malgré qu’elle ne comprenait pas non plus. Cela donnait des histoires drôlement drôles !

Un autre jeu : Elise avait choisi deux chefs qui devaient réagir par rapport aux émotions du groupe. Par exemple, un tigre nous poursuivait, alors le groupe avait peur et les chefs devaient le rassurer. Si quelqu’un était mordu par cette bête féroce, les chefs devaient le porter jusqu’à l’infirmerie. C’était très comique !

La patinoire (Tom)

Par une belle après-midi ensoleillée, nous sommes allés à la patinoire en plein air (avec de la vraie glace!). Laurence était malade, elle ne nous a hélas pas accompagnés !

Une fois sur la glace (houlala, ça glissait beaucoup!), les uns tombaient, les autres perdaient l’équilibre. Heureusement, il y avait des chaises pour se tenir. Mais très vite, certains ressemblaient à de vrais patineurs! C’était vraiment génial !

Nous nous sommes drôlement bien amusés avec Elise en jouant au loup touche-touche… (si on tombait,il fallait vite se relever sinon on était touché.)

C’était une très belle journée en plein air!

Le chant commun (Emmanuel)

Tous les jours, à 17h15, nous allions au chant commun avec les autres écoles. C’était les animateurs qui racontaient l’histoire de Léna et le yéti. Il n’y avait plus de neige chez eux et ils en cherchaient… Heureusement, nous les avons aidés à en trouver en allant demander

aux gens. Ils ont appelé ça le chant commun parce que nous chantions ensemble entre les épisodes de l’histoire. Nous nous sommes beaucoup amusés !

Le mot du jour (Emmanuel)

Tous les matins, nous allions au « mot du jour ». Chaque classe devait présenter le thème du jour de manière originale et dans cette présentation, il y avait un ou plusieurs mot(s) à trouver: le mot du jour. Par exemple, quand c’était notre tour, nous avons présenté un joli petit numéro de jonglage et le mot du jour était: « Que c’est beau! »

Ce jour-là, il fallait qu’on s’arrête au moins une fois dans la journée pour dire « Que c’est beau! ».

Elise (Joseph)

Pour ce voyage, nous avons eu la chance d’avoir avec nous Elise, une jeune femme super gentille qui nous a accompagnés tout au long du séjour. Pendant les temps libres, elle nous faisait faire des exercices de théâtre très chouettes. Nous nous entendions super bien et sans elle, nous nous serions ennuyés. Elle faisait tout pour nous amuser : sa joie, son humour et notre amitié ne sortiront pas de notre mémoire.

La messe (Florian)

Dimanche, Danny-Pierre a évidemment voulu faire la messe. Nous sommes arrivés à la chapelle qui était plus petite que ce qu’on pensait. Pendant que Danny-Pierre se préparait, nous avons observé les vitraux que nous trouvions magnifiques. Dès que la messe avait commencé, nous étions tous dans la joie. J’attendais avec impatience le moment de la communion pour recevoir le corps du Christ. C’était très plaisant.

Les chambres et le chocolat (Tamara)

Vous ne devinerez jamais à quel point nos chambres pouvaient être rangées… Grâce à du chocolat ! Je vous explique…

Tous les matins, une femme de ménage venait dans les chambres pour les nettoyer et pour vérifier si elles étaient merveilleusement bien rangées. Si oui, nous pouvions être tirés au sort. En conclusion, quand notre chambre était bien rangée, nous pouvions peut-être, je dis bien peut-être, recevoir du chocolat le lendemain matin à la fin du mot du jour !

Pour terminer, voici un petit conseil suite à ces classes de neige : pour que votre enfant range sa chambre, donnez-lui du chocolat à chaque fois qu’elle est en ordre !

Notre igloo (Tamara)

Nous étions tous très motivés pour construire un igloo. Nous avions espéré le finir, en vain!Je vous explique…

Un matin, en sortant pour aller en balade, une idée est passée dans la tête d’Elie. Cette idée était de réaliser un igloo. Tout le monde voulait le faire, on avait déjà fait un bonhomme de neige, alors un igloo… On s’est dit qu’on s’amuserait bien. Mais nous ne savions pas que ce serait si dur. A chaque fois que nous commencions la base de l’igloo, celle-ci était détruite par le vent ou par d’autres enfants… ça nous énervait tellement de tout reconstruire que nous avons laissé tomber.

On ne l’a peut-être jamais fini, mais on en garde quand même un beau souvenir.

La marche aux flambeaux (Joseph)

Un soir, on est sortis avec un bocal à la main dans lequel il y avait une bougie électrique. Des animateurs nous ont raconté le début d’une histoire. Je vais vous raconter le résumé de cette histoire. C’est l’histoire d’une fille qui aimait jouer dans la neige. Mais une nuit, elle avait fait un drôle de rêve : la neige avait disparu ! Le lendemain, elle se rendit compte que la neige avait réellement disparu.

Les animateurs nous ont alors conduit auprès de gens déguisés en fleurs qui nous demandèrent de chercher de la neige (ils devaient être aveugles car il y en avait partout!). Pour trouver cette neige, nous devions aller à un certain endroit. A cet endroit se trouvaient des gens déguisés en arbres qui nous ont demandé de trouver deux autres personnes déguisées en grenouilles qui nous ont demandé de chercher deux humains. Ces humains nous ont raconté que la petite fille avait retrouvé la neige.

Après cela, nous avons bu un chocolat chaud. Bien sûr, tout cela s’est passé avec des flambeaux !

L’avalanche (Youri)

Nous étions en train d’apprendre à skier sur une piste verte quand tout à coup, Tamara a crié : « Il y a une avalanche, regardez là-bas! » Tout le monde s’est retourné et a regardé la neige descendre jusqu’à la moitié de la montagne où les barrages l’ont stoppée.

Heureusement que nous ne sommes pas passés par là quand l’avalanche s’est produite !

Le ski (Julianne)

Le ski, c’est trop cool! Le premier jour, je suis tombée beaucoup! Mais les autres jours, je ne tombais presque plus. J’ai bien aimé le dernier jour car on a fait la piste bleue : ça allait vite ! J’aimerais bien refaire du ski : j’aime tellement cette sensation de pouvoir glisser sur la neige devant un magnifique paysage !

Les raquettes (Nicolas)

Première étape : nous avons mis nos raquettes. Cette étape n’était déjà pas très facile. Personne n’y arrivait sans aide. Heureusement que Danny-Pierre était là pour nous montrer comment il fallait faire.

Deuxième étape : nous nous sommes éloignés des pistes pour aller dans un sous-bois qui était juste en face de la gare. Nous avons tourné autour du bois pour trouver une entrée. Nous avons fait une pause à l’intérieur du sous-bois car Laurence et Delphine étaient encore loin derrière !

Après, nous sommes sortis du sous-bois mais il y avait une petite rivière que nous avons dû traverser parce qu’il n’y avait pas d’autre issue.

Nous sommes alors arrivés dans une plaine avec une petite butte que nous avons montée. Arrivés au sommet, nous avons fait une agréable pause, puis nous avons tout descendu en courant. Moi, ce que j’ai préféré, c’était les pauses car nous ne faisions pas d’exercice et nous nous amusions quand même !

Enfin, nous sommes arrivés à Wengen… C’était une expérience froide mais amusante !

 

 

 

 

 

la fête des champions

Chaque année, le dernier jour d’école, nous terminons par la fête des champions. Nous chantons ensemble que nous sommes tous des champions! En effet, nous sommes tous proclamés champions. Les institutrices nous disent de quoi nous sommes champions. Nous attendons ce moment avec impatience! On peut être champion en math, français, orthographe ou en tout autre matière scolaire mais aussi champion de natation, du jonglage, du courage, de la gentillesse, du partage, du progrès, de la vitesse…bref, nous sommes tous champions de quelque chose!

Cette année, pour commencer,les grands de secondaire avaient préparé des activités pour tout le reste de l’école: des jeux de reconnaissances, de mémoires. Nous nous sommes bien amusés.

Ensuite, nous avons chanté, dansé et surtout nous avons bien ri!

Les élèves de la classe de Marie-Do nous ont présenté un sketch en néerlandais.

La classe d’Annie-Jo a présenté des chants, des poésies et un numéro de clown.

Les filles de secondaire ont présenté une danse et nous l’ont ensuite apprise.

Nous avons terminé par un grand concours de jonglage: à 3, 4 et 5 balles, 3 et 4 massues. Ce ne sont pas du tout les institutrices qui gagnent en jonglage.

A midi, nous avons dit « Au revoir » à ceux qui changent d’école et « Bonnes vacances » à tous!

 

la pelleteuse

Un beau samedi, moi et mon papa sommes allés à l’école pour enlever des souches d’arbres afin de faire un beau potager. Jean-Paul et les enfants de Sophie étaient là. On a pu tous aller sur la pelleteuse de mon papa. Je l’ai magnifiquement pilotée car je l’avais déjà fait auparavant! Avancer, reculer, tourner et utiliser le bras : quelle joie! Les autres n’ont pu que reculer et avancer sur la pelleteuse rouge de mon papa mais ils en étaient très heureux.

Estéban

Le jour où le papa d’Esteban était venu, c’était le veille de ma première communion. Mes parents étaient à l’école pour préparer la salle pour le lendemain. Je suis allée dans le garage pour changer mes chaussures et, quand je suis sortie, j’ai vu un gros camion sur la cour. Vite, je suis allée dans le fond du jardin, près de la serre et le papa d’Esteban était là, avec une pelleteuse. Quelle chance! j’ai pu monter sur la pelleteuse. Le papa d’Esteban restait à côté de moi : j’ai été en avant, en arrière… Quand le travail a été fini, le papa d’Esteban a remis la pelleteuse dans le camion. Puis, il est sorti de la cour. Jean-paul tenait la grille d’un côté mais, de l’autre côté, personne ne la tenait parce que c’était trop dangereux et, la grille s’est refermée alors Annie-jo et marie-Do ont crié : »STOP! STOP!. » Puis, il est reparti sans accrocher la grille et depuis, la grille est toute cabossée.

Zélie

 

la fête des mères

Pour le fête des mères, nous avons brodé un joli coussin. Ça nous a pris beaucoup de temps!  En effet, c'est depuis le mois de septembre que nous apprenons à coudre. Nous avons dû un peu nous dépêcher car il y a eu des jours de congé en mai mais, ouf!!! Nous avons eu terminé à temps!

Les élèves de la classe d'Annie-Jo

expériences dans la classe de Marie-Do

Avec notre classe, nous avons fait des expériences.
On a mis de l’eau dans deux bocaux.  On a fermé le premier bocal et on a laissé le second ouvert.  On constate que dans le bocal resté ouvert, l’eau disparait petit à petit.
On a aussi mélangé de l’eau avec de la farine dans un bocal, dans un autre bocal, on a mélangé de l’eau avec du sucre et dans le dernier bocal, on a mélangé de l’au avec du sel. Nous avons constaté que la farine ne se dissout pas dans l’eau contrairement au sucre et au sel. On a laissé tous les bocaux ouverts et on constate que le niveau de l’eau baisse petit à petit. Il a fallu mettre le bocal avec la farine dehors car cela sentait trop mauvais.
En septembre, nous avions aussi mis des fruits dans des bocaux : des pommes dans un bocal fermé et des pommes dans un bocal ouvert ; des poires dans un bocal ouvert et des poires dans un bocal fermé.  Les pommes du bocal  ouvert sont devenues toutes petites et toutes sèches tandis que les pommes dans le bocal fermé sont encore grandes mais elles ont pourri et il y a plein de jus.  Le bocal ouvert avec les poires, nous avons dû le mettre dehors dès le mois de septembre car il y avait plein de mouches.  A présent, il reste une espèce de marmelade avec plein de vers. Dans le bocal fermé, il y a aussi beaucoup de jus et le couvercle a gonflé.
Nous laissons également pourrir d’autres choses comme un paquet de goudas jeune (le côté à la lumière pourrit beaucoup plus que l’autre côté), du couscous etc.
Affaire à suivre…

Thao, Luna et Colin

L’électricité

Un jeudi, nous avons fait des expériences avec de l’électricité.  Nous avons fait des groupes de trois (moi, j’ai été avec Luna et Nell)  Chaque groupe a reçu une pile et une petite ampoule.
Rachel

Il ne faut pas faire n’importe quoi avec l’électricité car elle peut être dangereuse.  Il ne faut pas non plus l’utiliser avec de l’eau ou dans des zones humides.  L’électricité circule très bien dans des objets métalliques.
Luc

D’abord, grâce aux deux bornes de la pile, nous avons allumé nos lampes.  Ensuite, nous avons pris des objets métalliques pour faire des  circuits électriques.
Esteban

Nous sommes allés chercher des fourchettes et d’autres choses métalliques partout dans l’école.  On s’est bien amusé.
Nell

Nous avons aussi fait des circuits avec les clinches de porte, avec la cloche, avec une latte en métal etc.
Cassandra

Pour que la lampe s’allume, il faut mettre une lamelle sur le plot et l’autre lamelle sur le culot de la lampe. Et il faut aussi que le circuit soit fermé.  Dès qu’on ouvre le circuit, la lampe s’éteint et si on n’utilise pas un bon conducteur d’électricité, la lampe s’éteint aussi.
Mathis

Le plastique n’est pas un bon conducteur d’électricité, le bois non plus.  Les métaux sont conducteurs et les humains aussi.
Arthur

Conte du pourquoi….1ère secondaire

Pourquoi les fleuves coulent-ils vers la mer ?

par Florian Valaeys (1ère secondaire)

 

 

Il y a de cela bien longtemps, Jean, un marin un peu timide, rencontra une belle jeune femme. Elle était ravissante, charmante et vive d’esprit. Jean tomba fou amoureux d’elle en un instant. Malheureusement, il se trouvait trop vieux pour elle et n’osait l’aborder : il avait déjà 30 ans et elle en paraissait dix de moins. Malgré tout, son amour fut le plus fort, il s’enhardit et tenta par tous les moyens de la conquérir. Finalement, il y parvint et deux ans plus tard, ils se marièrent. Ils vécurent plusieurs mois de bonheur mais un jour, Jean dût repartir pour un long voyage jusqu’au grand port, de l’autre côté des mers.

 

Sa jeune épouse monta au sommet d’une montagne pour y vivre dans la solitude et pleurer la séparation de son mari qu’elle aimait tendrement. Chaque jour, elle espérait voir au loin le navire qui lui rapporterait son bien-aimé mais jamais, elle ne le vit. L’horizon restait désespérément désert, la renvoyant à sa propre solitude.  Il était parti depuis si longtemps qu’elle le crut mort.

 

Un jour, elle entendit une douce voix lui souffler à l’oreille qu’elle pouvait se transformer en rivières pour revoir son mari. Hélas, elle n’hésita pas une seconde et acquiesça. En un instant, elle se transforma en milliers de fleuves convergeant vers les mers.

 

Trente ans plus tard, après bien des péripéties, Jean revint enfin chez lui pour n’y trouver à la place de leur demeure que de l’eau. Il appela cette rivière « fleuve » parce qu’il croyait qu’elle avait causé la mort de sa bien-aimée qui se nommait Fleuvial.

 

Depuis ce jour, toutes les rivières qui se jettent dans la mer s’appellent « fleuves ». Maintenant, vous savez pourquoi les fleuves coulent toujours vers la mer : c’est à cause de l’amour d’une femme.